
Karel Logist est à l’évidence un narrateur né qui parvient à brosser en quelques lignes à peine un destin, une existence brisée, une solitude comme seul un Hopper en peinture peut le faire. Dominique Meurant, Revue générale, 1998.
Il n’y a pas d’issue au monde », cette conclusion, tout à la fois banale et irrémédiable -, Karel Logist la formule avec cette qualité d’humour qui lui est propre, avec cette pudeur posée sur la déchirure dont il allège sa détresse, avec cette grâce évidente du chant qui se manifeste dans son art épanoui. André Romus, Le Journal des poètes, septembre 1997.
Par Alexandre Kosta Palamas interposé, qui déroule le film des ses errances / d’Istamboul à Bangkok et de Tyr à Détroit, Karel Logist a fait un long voyage au cœur de l’homme et de sa solitude, la même partout, de quelques oripeaux qu’on la vête. Guy Goffette, Le Carnet et les instants, mai-septembre 1996.